29-08-24, 09:31:06
Bonjour à tous
Je termine la mise en page d'un livre de 550 pages sous Publisher. Voici donc quelques impressions personnels, les bonnes comme les mauvaises, sur le sujet.
Les cotés positifs :
• Publisher (sur Mac 16 Go avec M3 et Sonoma) supporte aisément de mettre dans un même fichier 360 pages de textes et 95 planches de photos (849 photos en tout), si ces dernières sont liées bien sûr.
• Le Grep est indispensable et fonctionne à merveille avec la fenêtre « rechercher et remplacer », par exemple pour passer « Compagnie » en « Cie » en une fraction de seconde sur l’ensemble des pages, ou pour mettre en exposant tous les « e » derrière les nombres( 2e, 3e …). Pour pallier l’impossibilité d’enregistrer les différentes « formules GREP» je les enregistre dans le petit logiciel « Notes » sous Mac.
• Les styles de texte, maquettes de page, note de bas de page, sections et tout le train-train de base n’ont à aucun moment donnés de signe de faiblesse.
• La sous fenêtre « contenu » est fabuleuse, ont peux y mettre tout ce qui va (re)servir au fil des pages (tableaux, n° des photos, cadres-images à la bonne taille etc) .
Les côtés agaçants (un peu) :
• Plantage systématique lors de l’utilisation de la fenêtre « déplacer/dupliquer » (touche entrée) avec les cadres image, plantages sans conséquences pour la suite.
• Les tableaux sont… magiques : Ils changent de pages tout seuls lorsqu’on réouvre le logiciel, ou deviennent tout petits (ou tout grands), ou disparaissent d’un coup sans prévenir. À éviter. Pour pallier à cet inconvénient, j’ai fini par faire un modèle à l’aide des tabulations de texte et de quelques bidouilles décoratives, que j’ai ensuite enregistré dans la sous-fenêtre « contenu » afin de m’en resservir dans les pages. Efficace et simple (et là au moins, rien ne bouge).
• La mise en place du sommaire reste délicate, et demande de la patience et du doigté, car le logiciel rajoute automatiquement des styles qu’il faut paramétrer finement ensuite, en fonction de la mise en page désirée.
Je termine la mise en page d'un livre de 550 pages sous Publisher. Voici donc quelques impressions personnels, les bonnes comme les mauvaises, sur le sujet.
J'avais l'ambition à la base, d'utiliser le mode « livre » afin de créer 12 chapitres indépendants, puis de rassembler l’ensemble sur un pdf final. Si, à la base le « mode livre » parait être une très bonne idée, il s'avère qu'à l'usage ce n'est pas du tout le cas, particulièrement pour l'utilisation des maquettes de pages qui s’accumulent (avec les mêmes noms) au fil des chapitres lors des synchronisations, et des styles de texte qu’il faut importer au fur et à mesure de l’avancée. Bref, craignent le pire et après consultation du forum anglais qui m’a confirmé que ce mode Livre serait un jour, surement très bien, j’ai changé de cap et rassembler l'ensemble des 12 chapitres dans un seul fichier et, après avoir nettoyé les styles de textes inutiles et les maquettes de page en double, en triple et en quadruple, j’ai retrouver un fichier unique de 52 Mo que Publisher gére aisément (dans la mesure où les images sont en mode « liées » et non intégré dans le texte lui-même.)
Les cotés positifs :
• Publisher (sur Mac 16 Go avec M3 et Sonoma) supporte aisément de mettre dans un même fichier 360 pages de textes et 95 planches de photos (849 photos en tout), si ces dernières sont liées bien sûr.
• Le Grep est indispensable et fonctionne à merveille avec la fenêtre « rechercher et remplacer », par exemple pour passer « Compagnie » en « Cie » en une fraction de seconde sur l’ensemble des pages, ou pour mettre en exposant tous les « e » derrière les nombres( 2e, 3e …). Pour pallier l’impossibilité d’enregistrer les différentes « formules GREP» je les enregistre dans le petit logiciel « Notes » sous Mac.
• Les styles de texte, maquettes de page, note de bas de page, sections et tout le train-train de base n’ont à aucun moment donnés de signe de faiblesse.
• La sous fenêtre « contenu » est fabuleuse, ont peux y mettre tout ce qui va (re)servir au fil des pages (tableaux, n° des photos, cadres-images à la bonne taille etc) .
Les côtés agaçants (un peu) :
• Plantage systématique lors de l’utilisation de la fenêtre « déplacer/dupliquer » (touche entrée) avec les cadres image, plantages sans conséquences pour la suite.
• Les tableaux sont… magiques : Ils changent de pages tout seuls lorsqu’on réouvre le logiciel, ou deviennent tout petits (ou tout grands), ou disparaissent d’un coup sans prévenir. À éviter. Pour pallier à cet inconvénient, j’ai fini par faire un modèle à l’aide des tabulations de texte et de quelques bidouilles décoratives, que j’ai ensuite enregistré dans la sous-fenêtre « contenu » afin de m’en resservir dans les pages. Efficace et simple (et là au moins, rien ne bouge).
• La mise en place du sommaire reste délicate, et demande de la patience et du doigté, car le logiciel rajoute automatiquement des styles qu’il faut paramétrer finement ensuite, en fonction de la mise en page désirée.
Je pense qu'il serait bien de réfléchir à ce qu'il serait bien de faire pour faire en sorte que la situation s'améliore...
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